KUDZU, pueraria lobatal, RACINE

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Bienfaits et vertus

Lutter contre les addictions

Ce serait les isoflavones contenus en grande quantité dans le kudzu, qui seraient responsables de ses facultés anti-addictives.
Les facteurs d’addiction les plus courants (alcool, tabac, drogues…) fonctionnent en stimulant la production de dopamine qui provoque un sentiment d’apaisement et de bien-être. Des études ont montré que les isoflavones contenus dans le kudzu stimuleraient les « opioïdes » naturels du cerveau en agissant sur les neurotransmetteurs à la façon de la sérotonine (hormone du bien-être). Cette sérotonine naturelle aurait ainsi le même effet que la dopamine sur la personne addicte qui ressentirait moins le manque et serait moins irritée pendant le sevrage.
Par ailleurs, les flavonoïdes aux vertus antioxydantes présents en forte quantité dans le kudzu, ont une action détoxifiante sur le foie et permettent de protéger les cellules contre le stress oxydatif lié à la consommation importante d’alcool ou de tabac.

Prévenir les maladies cardiovasculaires

C’est la puérarine, dont le kudzu est l’unique source naturelle, qui serait responsable de l’effet du kudzu sur les maladies cardiovasculaires. De nombreuses études ont été faites à ce sujet, la plus récente date de 20121 et montre que la puérarine facilite l’afflux du sang vers les coronaires et minimise donc les risques de survenue des infarctus du myocarde. Le groupe traité à l’extrait de puérarine présentait une diminution du mauvais cholestérol et une meilleure dilatation des artères.

Lutter contre les hyperlipémies

Une étude datant de 20082 a montré qu’un traitement à la racine de pueraria lobata (une variété de kudzu) diminuait efficacement le taux de cholestérol total et de triglycérides, tout en préservant le HDL cholestérol (à savoir le bon cholestérol).

En traitement du diabète

Le kudzu est utilisé depuis des millénaires en médecine traditionnelle chinoise pour traiter le diabète. Son action hypoglycémiante a depuis été corroborée par une étude chinoise menée en 2003 sur des rats diabétiques, qui a démontré que la puérarine contenue dans le kudzu avait la faculté d’augmenter l’utilisation du glucose et de réduire le glucose plasmatique (la glycémie).